Le fakir entre en scène. Se prépare et se concentre. Il est seul. Le Mathurin lui demande son plus bel exploit. Normal, me direz-vous, quand le luxe d’être chez soi requiert d’avoir les meilleurs, avec soi. Entre, à son tour, son assistante, debout et impassible. L’œil médusé des clients de l’hôtel n’a d’égal que la concentration des deux protagonistes. Le fakir lève ses bras, plus haut puis encore plus haut. Une fois, deux fois et, enfin, à la troisième tentative, son assistante décolle du sol jusqu’à environ un mètre. Elle tient, puis tient encore. Invariablement allongée avant de… L’œil des… Lire la suite