Je me doutais bien lors de l’acquisition du Mathurin que cet établissement n’était pas comme les autres. Il inspirait le rêve, la création, la culture mais aussi les souvenirs d’enfance… Et quelle ne fut pas ma (bonne !) surprise quand ce client, d’un genre particulier, était venu, comme de nulle part, prendre la clé de sa chambre. De lui, transpirait ce léger goût de folie qui fait de certains hommes des êtres à part. Il avait un regard perçant baigné d’une humanité rare. Il nous demandait si nous pouvions lui trouver des moutons pour s’endormir. Un autre établissement aurait secrètement… Lire la suite