Le drame avec ce qui est beau dans ce lucre tout azimut où nous baignons est que l’offre et de la demande fonctionnent à plein rendant précisément le beau… pas très accessible. Les prix rendent prohibitifs l’accès pour les vacanciers les moins aisés et pour les autres, il faut s’y prendre un an à l’avance. Il en est ainsi du côté de ce prodige de la nature qu’est le Cap Ferret. Pauvres s’abstenir ! Sauf pour une grimpette rapide au mont Pilat et avant de s’éclipser discrètement en longeant les villas des heureux privilégiés. Bon, mais soit, je ne vais… Lire la suite