Vous aurez reconnu le vers de Monsieur Orgon dans « Le jeu de l’Amour et du Hasard » de Marivaux : « Renverse, ravage, brûle, enfin épouse … je te le permets si tu le peux ».Je cite, ici, ce vers pour évoquer cette pièce que j’ai vue récemment aux ateliers Berthier (Odéon Théatre de l’Europe), Si Marivaux est solidement installé à la Comédie Française (5ème auteur le plus joué) Michel Raskine (Célèbre directeur du Théatre du Point du Jour à Lyon) nous fait découvrir dans sa mise en scène ce classique revisité dans un anachronisme temporel, révélant d’ailleurs l’aspect si contemporain de cet… Lire la suite