Je lis que la Nuit Blanche de Paris, du 2 au 3 octobre 2010, « sera apatride ». Tout cela va dans le sens d’un rapprochement des peuples et j’en suis heureux. Mais, sans trop sacrifier à un humour facile, je ferai remarquer qu’intituler un évènement culturel « Nuit blanche » pour y accueillir des artistes issus de l’immigration du Sud, reste un gag linguistique qui n’échappera pas aux plus perspicaces ! Bon, trêve de plaisanterie, parlons un peu de cette nuit d’art contemporain, entièrement gratuite et festive. Le public découvrira le travail d’artistes internationaux visant à « magnifier l’intime contre le spectaculaire… Lire la suite